Index of French Words and Phrases
- "le christianisme qui s’envisageait
- Étude sur le Liber Pontificalis.
- Études historiques sur l’influence de la charité durant les Premiers siècles chrét.
- à l’histoire ecclés.
- étant la
- . Le Liber Pontificalis. Texte, introduction et commentaire
- 1856 (in "Révue de Théologie ").
- : Études sur la religion des Soubbas on Sabéens, leurs dogmes, leurs möurs.
- : Architecture civile et relig. du I
- : Conferences d’Angleterre. Rome et le christianisme.
- : Histoire des theories et des idées morales dans l’antiquité.
- : L’église chrét.
- : L’église chrétienne
- : La question de la Pâque, in
- : Les évangiles.
- Abbé Duchesne
- Académie
- Académie des inscriptions et belles-letters
- Académie des sciences morales et politiques,
- Adamantius Coraïs
- Ap. de T., sa vie, ses voyages, ses prodiges
- Avec lui, la philosophie a régné. Un moment, grâce à lui, le monde a été gouverné par l’homme le meilleur et le plus grand de son siècle.
- Catacombes de Rome
- Ce sont là les calomnies ordinaires, qui ne manquent jamais sous la plume des écrivains orthodoxes, quand il s’agit de noircir les dissidents.
- Celse et Lucien
- Charité chrét
- Clément d’Alexandrie.
- Cle de Meliton, est une compilation de passages des Pères latins pouvant servir à l’explication allégorique des écritures qui figure pour la première fois dans la Bible de Théodulphe.
- Clement d’Alexandrie.
- Comme les peintures chrétiennes, ils ne s’écartent guère, sauf pour le sujet, des habitudes de l’art païen du méme temps.
- Comme plus tard Origène, il voulut que sa chasteté fût en quelque sorte matériellement constatée.
- Conférences d’Angleterre
- Controverse sur les Philos. d’ Orig
- De Justiniana dictione
- De Vogüé
- De l’ Apologétique chrétienne au IIe
- De l’apologetique Chrétienne
- De l’authenticité de la lettre de Pline au sujet des Chrétiens,
- De la legatité du Christianisme dans l’empire Romain au Ier siècle
- De la moralité de Plutarque
- De salute
- Diction. des Antiquités Chrétiennes
- Du Témoignage d’Hégésippe sur l’église chrétienne au deux premiers siècles.
- E’glise chrétienne
- Essai historique sur la société dans le monde Romain, et
- Essai sur le Montanisme
- Etudes sur de nouv. doc. hist. des Philosophumena
- Fastes des provinces Asiatiques
- Glorie éternelle et unique, qui doit faire oublier bien des folies et des violence! Les Juifs sont les révolutionnaires du
- Hist. de la destruct. du paganisme,
- Histoire Romaine à Rome
- Histoire crit. de Manichée et du Manichéisme.
- Histoire critique de l’ École d’Alexandrie
- Histoire critique du Gnosticisme et de son influence sur les sectes religieuses el philosophiques des six premiers siècles
- Histoire de I’ École d’Alexandrie
- Histoire de St. Irenée.
- Histoire de l’esclavage
- Histoire de l’esclavage dans l’antiquité
- Histoire de la Palestine depuis Cyrus jusqu’à Adrien
- Histoire de la destruction du paganisme dans I’ empire d’ Orient
- Histoire de la destruction du paganisme en Occident
- Histoire de la philosophie morale et politique.
- Histoire de trois premiers siècles de l’église chrétienne.
- Histoire des Empereurs;
- Histoire des Persecutions de l’église
- Histoire des persécutions de l’église jusqu’ à la fin des Antonins
- Histoire des persécutions de l’église, La polémique paÿenne à la fin du II. siècle
- Histoire des trois premiers siècles,
- Histoire générale des auteurs sacrés et ecclesiastiques.
- Historie des Origines du Christianisme
- Horrible déception pourles gens de bien! Tant de vertu, tant d’amour n’aboutissant qu’à mettre le monde entre les mains d’un équarrisseur de bêtes, d’un gladiateur ! Aprés cette belle apparition d’un monde élyséen sur la terre, retomber dans l’enfer des Césars, qu’on croyaitfermé pour toujours ! La foi dans le bien fut alors perdue. Après Caligula, après Néron, après Domitien, on avait pu espérer encore. Les expériences n’ avaient pas été décisives. Maintenant, c’est après le plus grand effort de rationalisme gouvernemental, oprès quatre-ving quatre ans d’un régime excellent, après Nerva, Trajan, Adrien, Antonin., Marc-Aurèle, que le règne du mal recommence, pire que jamais. Adieu, verta; adieu, raison. Puisque Marc-Aurèle n’a pas pu sauver le monde, qui le sauvera
- I’ église Chrétienne
- Idées dogm. de Clement d’Alex.
- Inscriptions chrétiennes de la Gaule anterieures au VIIIme
- Jamais peut-être le christianisme n’a plus écrit que durant le II
- Johanneschristen, Chrétiens de Saint Jean.
- Journal des savants,
- Justin était un esprit faible; mais c’était un noble et bon coeur
- Justin n’était un grand esprit; il manquait à la, fois de philosophie et de critique; son exégèse surtout passerait aujour d’ hui pour très défectueuse; mais il fait preuve dun sens général assez droit; it avait cette espèce, de crédulité médiocre qui permet de raissonner sensément sur des prémisses puériles et de s’arrêter à temps de façon à n’être qu’à moitié absurde.
- L’ église chrétienne
- L’ Histoire des origines du Christianisme
- L’Église et l’Empire
- L’égl. Chrét.,
- L’égl. chrét,
- L’église chrét. 436
- L’église chrét.,
- L’église chrétienne
- L’église chret.,
- L’église et L’état dans la seconde moitié du IIIe
- L’église et l’empire
- L’E’glise, chrétienne
- L’Eglise chrétienne
- L’Histoire de l’ École d’Alexandrie
- L’Univers religeux
- L’egl. chrét.
- L’englise chrét.,
- L’ouvrage latin que om Pitra a publié comme
- La ’lingua volgata’ d’Afrigue contribua ainsi dans une large part à la formation de la langue ecclésiastique de I’ Occident, et ainsi elle exerça une influence décisive sur nos langues modernes. Mais il résulta de là une autre conséquence; cest que les textes fondamentaux de la littérature latine chétienne furent écrits dans une langue que lettrés d’Italie trouvèrent barbare et corrompue, ce qui plus tard donna occasion de la part des rhéteurs à des objections et à des épigrammes sans fin
- La Lettre à Diognète
- La Phrygie était un des pays de l’antiquité les plus portés aux rêveries religieuses. Les Phrygiens passaient, en général pour niais et simple. Le christianisme eut chez eux, dès l’origine un charactère essentiellement mystique et ascétique. Déjà, dans l’épitre aux Colossiens,, Paul combat des erreurs où les signes précitrseurs du, gnosticisme et les excès d’un asétisme mal entendu semblent se mêler. Presque partout ailleurs,
- La Religion romaine d’Auguste aux Antonins.
- La date et les recensions du Liber Pontificalis.
- La polémique païenne à la fin du IIe
- La religion à Rome sous les Sévères
- Le Catacombe Romane descritte
- Le Symbole des apôtres. Essai historie.
- Le reclus du Serapeum
- Le, Signe de la Croix avant le Christianisme.
- Les Évang.
- Les Évangiles
- Les évangiles,
- Les Actes de cette Dispute sont évidemment une fiction pareille à celle de cet imposteur, qui a pris le nom de Clément Romain, et qui a introduit S. Pierre disputant contre Simon le Magicien
- Les Acts des martyrs depuis l’origine de l’église Chrétienne jusqu’à nos temps. Traduits et publiés par les R. R. P. P bénédictins de la congreg. de France
- Les Antonins
- Les Apologistes Chrétiens du II
- Les Catacombes
- Les Catacombes de Rome. Histoire de l’art et des croyances religieuses pendant les premiers siècles du Christianisme
- Les Chréstiens dans l’empire romain, de la fin des Antonins au milieu du IIIe siécle
- Les Courtisanes saintes
- Les Moralistes sous l’Empire romain.
- Les Pères Apostoliques et leur epoque
- Les catacombes de Rome
- Les deux Apologies de Justin M. au point de vie dogmatique.
- Les inscriptions chrétiennes des catacombes ne remontent qu’ au commencement du III
- Les juifs ensevelissaient dans le roc. A Rome ils ont creusé de grandes catacombes presque identique à celles des chrétiens. Ceux-ci ont été leurs imitateurs. Les Etrusques se servaient aussi de grottes; mais ils ne les reliaient point par des galeries illimitées.
- Les martyrs ou le triomphe de la rel. chrét
- Les populations se précipitèrent, par une sorte du mouvement instinctif, dans une secte qui satisfaisait leur aspirations les plus intimes et ouvrait des ésperances infinies
- Les premiers siècles de la charité.
- Les sarcophages sculptés, représentant des scènes sacrées, apparaissent vers la fin du
- Mém. de l’ Acad: des inscript. et belles letters
- Mémoire sur l’ inscription d’ Autun
- Mémoire sur la chronologie de la vie du rhéteur Aelius Aristide
- Mémoire sur le Sérapeum de Memphis,
- Mêmoirs,
- Manuel d’Epigraphie chrétienne
- Marc Auréle
- Marc-Aurèle
- Marc-Aurèle et la fin du monde antique
- Marc-Aurèle et la fin du monde antique.
- Memoirs pour servir
- Minutius Félix, Tertullien et tous ceux communauté de, nature, cette communauté de patrie dans la république du monde, en un language familier à la philosophie, mais qui trouvait parmi les chrétiens avec une sanction plus haute et un sens plus complet, une application plus sérieuse. Devant cc droit commun des hommes, fondé sur le droit divin, le prétendu droit des gens n’était plus qu’ une monstrueuse injustice
- Monuments d’ epigraphie ancienne,
- Nouveaux essais sur l’infl. du Christianisme dans le monde Grec et Latin.
- Nouvelle Bibliothèque des auteurs ecclesiastiques, contenant l’histoire de leur vie,
- Nouvelles apologies
- Peu d’ écrits sontaussi authentiques.
- Progrés de l’épiscopat;
- Recherches critiques sur les lettres d’gnace d’Antioche.
- Renan
- Revue des deux mondes
- Saint Cyprien et l’église d’ Afrique an troisième siécle.
- Saint Irénée et l’éloquence chrétienne dans la Gaule aux deux premiers siècles.
- Si Jesus
- Singulier document, moitié insolent, moitié suppliant, qui commence par insulter chrétiens et finit par leur demander de prier leur maÎ tre pour lui
- Sklaverei und Christenthum
- Sklaverei und Christenthum In Der Alten Welt
- St. Irenée et son temps.
- Statistique et extension géographique du Christianisme
- Symbole des apôtres.
- Tertullien et le Montanisme
- Traité de la créance des Pères touchnt l’état des ames après cette vie
- Verh. d. alten Kirche zur Sclaverei im röm. Reiche
- Vie de Cyprien.
- Vie de St. Cyprien.
- au II.
- au Vll
- ce fut une religion de ourgades et de campagnards.
- comme dans
- delà du Jourdain
- e
- e siècle de notre ère
- er
- er et du
- is,
- la Syrie au
- la perle de la litterature chrétienne au Il
- la transformation par le Christianisme.
- le christianisme fut une
- le christianisme qui s’envisageait comme la destruction du judaisme
- le fouilleur le mieux qualifié fervent catholique, mais critique sérieux
- le génie, le caractère individuel
- le livre le plus purement humain qu’il y ait. Il ne tranche aucune question controversée. En théologie, Marc Aurèle flotte entre le déisme pur, le polythéisme enterprété dans un sens physique, à la façon des stoïciens, et une sorte de panthéisme cosmique.
- le modèle de l’homme ecclésiastique accompli
- ne fut pas seulement un personnage réel, ce fut un personnage de premier ordre, un vrai chef d’Église, un évêque, avant que l’épiscopat fût nettement constitué j’ oserais presque dire un pape, si ce mot ne faisait ici un trop fort anachronisme. Son autorité passa pour la plus grande de toutes en Italie, en Grèce, en Macédonie, durant les dix dernières années du I
- ne nous avait été connu que par des textes de ce genre, on aurait pu douter s’il avaitvraiment existé, ous’il n’ était pas une fiction,
- or
- paque
- paques
- qui n’empêche ni la gaieté, ni le talent, ni le goût aimable de la vie, ni la recherche, de l’élégance du style. Que nous sommes loin de l’ébionite ou méme du juif de Galilée! Octavius, c’est Cicéron, ou mieux Fronton, devenu chrétien. En réalité, c’est par la culture intellectuelle qu’il arrive au déisme. Il aime la nature, il se plaît a la conversation des gens biens élevés. Des hommes faits sur ce modèle n’auraient créé ni l’Évangile ni l’Apocalypse; mais, réciproquement, sans de tels adhérents, l’Évangile, l’Apocalypse, les épItres de Paul fussent restés les éscrits secrets d’une secte ferméé, qui, comme les esséens ou les théapeutes, eut finlement disparu.
- religion de grander villes; ici,
- rieur spirituel, un Lucian couronné prenat le monde comme un jeu frivole
- siè
- siècle
- siècle.
- siècle. A la limite de l’ âge apostolique, il fut comme unapôtre, un épigone de la grande génération des disciples de Jésus, une des colonnes de cette Eglise de Rome, qui, depuis la destruction de Jérusalem, devenait de plus en plus le centre du christianisme
- siècle. Paris,
- siécle en Asie. La culture littéraire était extrémement répandue dans cette province; l’art d’écrire y était fort commun, et le christianisme en profitait. La littérature des Pères d l’Église commencait. Les siécles suivants ne dépassèrent pas ces premiers essais de l’éloquence chrétienne; mais, au point de vue de l’orthodoxie, les livres de ces Pères du II
- siécle offraient plus d’une pierre el’achoppement. La lecture en devint suspecte; on les copia de moins en moins, et ainsi presque tons ces beaux écrits disparurent, pour faire place aux écrivains classiques, postérieurs au concile de Nicée, écrivains plus corrects comme doctrine, mais, en général, bien moins originaux que ceux du Il
- siecle.
- son expressio la plus exaltée
- suite du judaisme
- sur
- un beau morceau neutre, dont les disciples de Pierre et ceux de Paul durent se contenter également. Ilest probale qu’il fut un des agents les plus énergetiques de la grande Œuvre qué etait en train de s’ accomplir, je veux dire, de la réconciliation posthume de Pierre et de Paul de la fusior des deux partis, sans l’union desquels l’Œuvre du Christ ne pouvait que périr.
- un des morceaux les plus extraordinaires que possède aucune litterature,"
- un docteur très fécond, un catechiste doné d’un grand talent d’exposition, un polémiste habile selon les idées du temps.
- un mélange inouï de talent, de fausseté d’esprit, d’éloquence et de mauvais goût grand écrivain, si l’on admet que sacrifier toute grammaire et toute correction à l’ effet sois bien écrire
- une sorte d’eclectisme fondé sur un rationalisme mystic
- unsystème d’illusions consolantes.
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