Ann. XX dans le texte arménien, évidemment fautif.: 1
Ce d'but, de même que plusieurs autres parties de la notice, étant emprunté au De Viris: 1
Ces interpolations, à mon avis, ne doivent donc ni déconcerter ni rébuter la critique. Sous la couche des inventions, les traits originaux existent, et un grand nombre d'entre eux apparaissent come à fleur de sol. Il les faut dégager patiemment: 1
En ce qui regarde Saint Pierre le chiffre de ses vingt-cinq années est aussi bien attesté que les chiffres d'années de ses successeurs depuis Xystus Ier: 1
I1 (l'auteur) n'en tenait pas moins un rang élevé dans l'Eglise; il parle avec autorité; il est très-respecté des frètres auxquels il écit; Timothée paraît lui être subordonné. Le seul fait d'adresser une épitre à une grande Eglise indique un homme important, un des personnages qui figurent dans 1'histoire apostolique et dont le nom est célèbre . . . L'attribution à Barnabé est la plus vraisemblable.: 1
L'auteur de la note paraît avoir mal compris le texte des Acta: 1
La Version Vulgate (L') remontant peut-être a la fin du IIe: 1
Les gentils, aux temps de Dioclétien, avaient recherché, pour les anéantir, les livres, les écrits religieux des fidèles. Cette destruction, qui nous est attestée par des procès-verbaux contemporains, fut rigoureusement poursuivi, et l'Eglise, après la tourmente, dut pourvoir à la réfection de ses archives dévastées. Ce fut souvent à l';aide de souvenirs de traditions orales, que l'on dut réconstituer alors nombre d'Acta: 1
Les lettres de cette courte épitaphe,' remarks Marucchi, ‘sont très soignées et d'une forme paléographique certainement antérieure à la seconde moitié du IIe: 1
Malheureusement les Actes [des Martyrs] authentiques ont presque tous disparu. . . . L'Eglise romaine non possède aucun. Les actes de ces martyrs ont dû être détruits pendant la grande persécution de Dioclétien; il est certain qu'à cette époque on a brûlé les Archives de de 1'Eglise romaine; on a d'ailleurs agi de même en Afrique, ainsi que nous 1'apprend S. Augustin.: 1
On peut dire sans exaggération que c'est la region cimetériale la plus vaste et la plus régulière de toute la Rome souterraine. Ses inscriptions gravées sur marbre, ou peintes en rouges sur des tuiles comme au premier étage, attestent qu'au moins en partie elle remonte à la plus haute antiquité. A mon avis, il y eut là un noyau cimetérial dès le Ile: 1
Quant au temple d'Apollon, il y a, clans cette désignation, un souvenir du célèbre sanctuaire de Cybèle, qui s'élévait tout près du cirque et de la basilique, et qui fut, jusqu'aux dernières années du ive: 1